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Au Coeur de nos Vies : la nature, l'alimentation, la relation ร  l'autre

{ au potager en permaculture } ๐—Ÿ๐—ฎ ๐—ฑ๐—ถ๐—ณ๐—ณ๐—ฒฬ๐—ฟ๐—ฒ๐—ป๐—ฐ๐—ฒ ๐—ฒ๐—ป๐˜๐—ฟ๐—ฒ ๐˜๐—ผ๐—บ๐—ฎ๐˜๐—ฒ๐˜€ ๐—ฒ๐˜ ๐—ฟ๐—ฎ๐—ถ๐˜€๐—ถ๐—ป๐˜€, ๐—ฐโ€™๐—ฒ๐˜€๐˜ ๐—พ๐˜‚๐—ผ๐—ถ ?

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C’est que pour les raisins, une vigne dès que les conditions de culture sont ok, il n’y a peu de « travail » à réaliser chaque année. Juste ce qu’il y a lieu de faire comme pour tous les arbres fruitiers.
Pour les tomates, c’est autre chose. Tout le « travail » de culture est à faire chaque année. Avec oui, avec certains avantages comme celui de décider quelles variétés on décide de cultiver chaque année et donc de varier les plaisirs de découvrir des goûts différents.
Autre avantage pour les tomates, si l’endroit de culture n’est pas ok, on peut rectifier l’année suivante.
Pour les arbres fruitiers, a priori quand ils sont plantés, c’est un peu plus compliqué de les déplacer quoique pour leur permettre de sur-vivre et de produire des fruits en abondance, il faut parfois le faire.
C’est ce que j’appelle collaborer avec la nature qui demande de d’abord observer pour comprendre avant d’intervenir !
Et aussi, ce sont tous les deux des fruits même s’il y a un débat autour de ça : pour faire simple, on peut parler de légume-fruit pour la tomate (surtout quand comme moi on cultive parfois avec le calendrier lunaire, j’ai bien dit parfois ).
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